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Critique de charles6344a16a


• Pourquoi ce livre? 1. Tout d'abord parce que nous avions droit de lire l'une des lectures obligatoires pour ce travail. Ensuite parce que c‘est celui qui semblait le moins long (j'ai beaucoup de lecture en ce début de session…), mais aussi parce que j'avais lu que l'auteur est directeur de la rédaction de Philosophie Magazine. Ça fait longtemps que je n'avais pas lu 175 pages en une journée (merci Google ?), alors j'ai pu me donner ce défi et le réussir.
• Un premier aspect qui m'a plu : 2. Il m'arrive rarement de lire des romans écrit à la première personne ces derniers temps, alors cette lecture avait cela de rafraichissant. le point de vue narratif interne à cet avantage de nous faire découvrir les opinions que le protagoniste a des autres ou encore de lui-même. Ici Sommer a beaucoup d'opinion sur lui-même et pas les plus modestes !
• Un second aspect qui m'a plu : 3. le livre contient quelques assertions philosophiques qui ne sont pas totalement dépourvues d'intérêt, mais les réflexions sur l'économie internationale sont complètement farfelues et sont aisément réfutables. D'un autre côté, le texte contient plusieurs « petits » faits plutôt intéressant, par exemple que le bouton de fermeture des portes d'un ascenseur est le plus utilisé, chose nouvelle d'après l'auteur.
• Un aspect qui m'a moins plu : 4. Il est difficile de dire si la pensée de l'auteur se reflètent dans les propos tenus par Sommer ou si ce dernier agit comme un anti-héros à la Elvis Gratton. Vu que les chapitres sont trop court pour développer correctement une idée, nous en sommes à pouvoir contredire facilement ses propos, mais il n'y a personne au bout du fil pour nous répondre… Ce qui rend la lecture frustrante pour moi.
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