Lulu, Il était une fois une princesse

Quand je me perds dans les courbes langoureuses de votre doux corps, je n’ai qu’une envie, ô ma belle Princesse, vous voir dès ce soir…

… et vous mettre vos douze coups de minuit, telle la Blanche-fesse du film des « 7 mains » !

Nous ferons des nuits blanches avec vous, La Belle… et ma Bête !

Je vous emmènerai au 7ème ciel du pays imaginaire, tel un Peter Pan-pan et sa flûte emmanchée !

Soyez mon Anustasia et je serai votre Pine-occhio, je vous mentirai sans cesse pour votre plaisir… Bibidibobidibou, eh oui, j’ai plus d’un tour dans ma braguette magique !

Ah ce David-Bogoss, quel crétin celui-là !
On arrive dans un bar, il me retire ma veste et là, il me dit
"Délire ! T'as plus d'omoplates que de nichons !"

Ah le parc Monceau...de tout Paris est bien le parc le plus beau ! Son saule pleureur et ses fleurs, flottant au gré du vent parfumé de leurs odeurs, ses cygnes amoureux si élégants, ses vives hirondelles dans ce bleu de printemps...
Il ne me manque plus qu’un bien-aimé avec qui tendrement me promener... et les yeux dans les yeux, et la main dans la main.. nous irions amoureux, sans peur du lendemain...
On regarderait les enfants jouer, on se donnerait de tendre baisers...
MmmmmmmmOUAIS... Mais t’es toujours « ALONE comme un rat », ma pauv’ Lulu...
Si au moins, j’avais un signe de son existence.. Un signe... je sais pas moi.
JUSTE UN SIGNE !
ENVOYEZ-MOI N’IMPORTE QUOI !!!