>
Critique de LoupAlunettes
"Le grand départ" est un album original et très visuel.
La fin nous réservera une surprise à laquelle on ne s'attendra pas: c'est un livre pour le dodo.
En route, donc, avant que s'éteigne les lumières.
Le texte sera concentré sur des onomatopées calligraphiées, formant les véhicules d'un grand départ (sans doute pour les grandes routes des vacances).
Ca vroum et ça tutuuut, évidement jusqu'à ce que l'espace des double-pages se comblent peu à peu pour former un embouteillage monstre.
L'auteur glissera dans son joyeux bazar justement un gros engin de chantier qui devra se fondre dans la masse comme un jeu de quille (imaginez la scène sur une autoroute pour que tout le monde s'écarte).
Et progressivement, la lumière et le bruit cèderont à l'inévitable fin de l'histoire.
Il y aura comme un goût de trop peu, une frustration qui devra elle-aussi céder à l'heure du dodo.
L'auteur est diabolique.
Les calligrammes sont esthétiques et très ludiques, ils pourront peut-être donner envie de s'y essayer à la fin de l'histoire, former des objets avec des mots signifiants.
Nous arriverons, grâce à l'auteur-illustrateur Sylvain Lamy à distinguer les différents engins, de chantier, bolides ou voitures familiales.
C'est très sympa et il est probable que les petiots ( et les parents) se lâchent un peu avec des bruits gutturaux et des bouches de canards qui vibrent avant d'obéir à l'heure du gros oreiller.
La fin nous réservera une surprise à laquelle on ne s'attendra pas: c'est un livre pour le dodo.
En route, donc, avant que s'éteigne les lumières.
Le texte sera concentré sur des onomatopées calligraphiées, formant les véhicules d'un grand départ (sans doute pour les grandes routes des vacances).
Ca vroum et ça tutuuut, évidement jusqu'à ce que l'espace des double-pages se comblent peu à peu pour former un embouteillage monstre.
L'auteur glissera dans son joyeux bazar justement un gros engin de chantier qui devra se fondre dans la masse comme un jeu de quille (imaginez la scène sur une autoroute pour que tout le monde s'écarte).
Et progressivement, la lumière et le bruit cèderont à l'inévitable fin de l'histoire.
Il y aura comme un goût de trop peu, une frustration qui devra elle-aussi céder à l'heure du dodo.
L'auteur est diabolique.
Les calligrammes sont esthétiques et très ludiques, ils pourront peut-être donner envie de s'y essayer à la fin de l'histoire, former des objets avec des mots signifiants.
Nous arriverons, grâce à l'auteur-illustrateur Sylvain Lamy à distinguer les différents engins, de chantier, bolides ou voitures familiales.
C'est très sympa et il est probable que les petiots ( et les parents) se lâchent un peu avec des bruits gutturaux et des bouches de canards qui vibrent avant d'obéir à l'heure du gros oreiller.
