C'est d'abord une présence. Celle de Paul. Ses mots, les conversations avec Emmie, les sensations fugaces, ce qui ne meurt jamais, les souvenirs, leurs étreintes, les bouts d'existence comme en passant, les traits du pinceau, photographies, storyboarding, les SMS. La vie.
Ils s'aimaient : une attention constante, de l'un à l'autre, de l'une à l'autre, même lorsqu'ils étaient séparés. Souvent. Une présence dans l'absence : ils s'aimaient.
Marie-Galante enfin, le seuil, où tout finit. Alors les mots d'Emmie, alors ces mots sur Paul, idéalisation jamais larmoyante malgré la douleur ; alors les mots ce cri du coeur.
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