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Critique de bdelhausse


La couverture se rapporte à un épisode du tome qui occupe environ 12 pages sur 46, lors de la confrontation de la compagnie avec les hommes-poireaux. Comme d'habitude maintenant, zéro suspense, zéro émoi, zéro doute...

Au rayon des choses qui sortent un peu de l'ordinaire, on citera l'arrivée d'un nouveau dans la bande: un paladin d'un dieu du sommeil. Cela me rappelle l'extension des règles de D&D lorsque des paladins de tous alignements ont débarqué... plus n'était besoin d'être une sorte de niais, cul-béni, disant oui à tout... ce qui est malgré tout le cas de ce paladin, qui révèle le magot que la compagnie attend lors de la livraison des statuettes.

Et on part sur les deux pages les plus drôles des 4 premiers tomes: une double page consacrée à la répartition du magot selon le nain, qui nous emmène dans un calcul au pro rata digne des meilleures parties de jeu de rôle.

Pour le reste, c'est dramatiquement caricatural. Cela peut éventuellement passer lorsqu'on lit un tome par an. Par contre, lorsque, comme moi, on enfile plusieurs tomes d'affilée, on est vite lassé.

J'ai de nouveau le même problème avec le nombre de cases par planche: cela va de 3 à 7... ce qui est fort peu.
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