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La toute fin du roman est hélas un peu bancale dans sa volonté de dédramatiser finalement tout ça, et l'écriture distanciée et taquine de Lapeyre révèle là une petit faiblesse : on est tout de même tenu un peu à l'écart de l'histoire et de son drame, de son drame immense, de l'horreur absolue qu'est la plupart du temps l'existence humaine, remplie de désirs insatiables non assouvis et de médiocrité quotidienne inaltérable. Mais c'est être bien tatillon que de relever cela.
La vie est brève et le désir sans fin est un superbe roman, qui constitue à mon avis un cadeau de Noël absolument imparable et inattaquable. C'est noté ?
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