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Citations sur Big Data Djihad (6)

Je suis un agit teur parfois j'ai peur de faire tomber mes idées par ces multiples orifices sur mon horrible tête et de les re garder se fracasser sur le carreau .
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Par où commencer ? Quand on naît , on sort des entrailles de sa génitrice pour entrer dans la vie tête par dessous pieds , à tanguer entre les mains d'un médecin quelconque ou d'une pulpeuse sage - femme , et c'est comme ça qu'il faut commencer toutes les histoires . Cul par - dessus tête , jambes bien écartées pour laisser la vie t'enfiler avec sa bite de cheval appelée
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Vidéo: KharChouf TV
12-11-2027
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On a appris de sources sûres que l'homme qui a piraté le réseau d'Internet mondial est un Marocain d'origine marocaine . Certains semblent être flers que le plus grand terroriste du nouveau siècle soit encore un Arabe , mais le monde est sous le choc : choc économique , choc social et choc culturel dont le retentissement , selon les spécialistes , est encore très loin d'avoir été mesuré à sa juste valeur . Ce qui est sûr c'est qu'on parle de la fin du monde , ni plus ni moins ... L'Apocalypse , encore et toujours , et comment essayer de la décommander encore pour que l'humanité trouve une issue comme dans une pénible aventure de James Bond sous Roger Moore ...
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Le gradé me rappelle à la réalité. Il a fait pousser une moustache à force de pousser des cris et des idées dans sa petite tête. Il se demande pourquoi la police du monde entier cherche à me confondre. Mais la vraie question est : comment j’ai fait pour remettre tous les compteurs à zéro ? L’impuissance spéculative du gradé le pousse à me haïr sans aucune netteté, une colère ni tranchante ni claire. Des rognures d’arguments sans rien du tout comme garniture. Du vide ! Que des niaiseries qui fermentent paisiblement dans sa petite tête toute sordide de petit bourgeois sans imagination qui, pour ne pas rêver, se met chaque nuit un bandeau sur les yeux au lieu de fermer les volets. Face à moi, il pagaie dans le couscous.

- C’est toi, ou c’est pas toi ?

Il tient à son tragique, le saligaud. Il confond avec une promotion ou une médaille. On fait le fanfaron ? C’est coquer dans la fesse étrangère qui donne cette vigueur. Cette bite en étendard ! C’est de sentir la chatte d’Interpol, du FBI, de la CIA, des Nations Unies et que sais-je qui te donne cette trique, mon petit satyre ? Petit tourmenté du périnée ! C’est les grosses cuisses de jument et les nichons montés sur des scies sauteuses qui te rappellent le bon souvenir d’une libido professionnelle synonyme d’avancement. Avancer, avancer ! Une politique d’étron !

Que du jus de caca encore. On fait du zèle ? On se décarcasse ? On sue et on fait des effets de manche comme un avocat miteux ? À la base, il ne dit jamais plus d’une phrase à la fois, il doit être poitrinaire, il manque de souffle ou de mots ; toujours une question de munitions avec ces agents de la paix.
- C’est toi, avoue !

Il me fait son numéro. Je le vomis en le regardant comme sur un vieux tube digestif cathodique encombrant dont je coupe le son pour admirer le spectacle. Et il y va, le con, il fait le flic avec moi, prétexte à fariboles chorégraphiques, déhanchement d’épaules et violentes tambourinades.

Histoires, enquêtes, angoisses. Il me jette ses émotions sur le visage comme si c’était un gant de hammam pour un duel après la prière de l’aube. J’ai presque envie d’applaudir quand il marque la pause pour laisser glisser un filet de sueur sur son front avant de continuer le numéro en glissando. J’ai l’impression de me faire pomper par cet ignoble halluciné embruiné.

Je me touche la bistouquette ! Présent ! À bout de souffle, le gradé termine son numéro de claquettes sans apothéose. Ses subalternes, la vermine qui grouille autour de nous, sont admiratifs et terrorisés. Ils commencent à remuer sur le cadavre de cette petite mise en scène.
- Avoue !

Il joue au dur pour enfoncer du gras. Que du mou et du raplapla, que du mou !

Derrière le gradé, il y a sa secrétaire qui sort de sa brume, incapable de fabriquer une phrase cinglante et définitive pour me remettre à ma place et m’obliger à courber l’échine face à l’autorité. Elle se jette sur moi et me gratifie d’une gifle qui coupe court à l’agonie de la mollesse narrative qui nous plaque contre le plancher du récit et l’empêche de décoller. Le silence qui s’ensuit coupe court au bavardage masculin, rallonge la sauce du passage à tabac féminin. Ça reste de la brutalité policière que la caméra de surveillance garde au chaud dans les circuits du disque dur. La grognasse n’a probablement pas de vocables, mais elle a des couilles, plus que ses collègues...
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De temps à autre , je pense à tonton Freud : ce que veulent les femmes ?
Ça dépend ...
Je peux faire une liste de courses , mais ce serait trivial .
Elles veulent des serviettes hygiéniques , un peu d'égard , beaucoup de tendresse , une émotivité rassurante , une épaule large , un ventre mou et une bandaison dure ... Un frigo plein , un évier vide , un compte en banque garni et une belle - mère morte de préférence ...
Elles veulent que tu te rappelles de leur date d'anniversaire , de l'anniversaire de la rencontre sur Tinder , de l'anniversaire de la première baise , de l'anniversaire de la première sodomie , de l'anniversaire du chat de gouttière qui veut occuper ta place sur le lit , mais elles veulent aussi que tu oublies leurs bourdes , leurs bourrelets , leurs promesses pas tenues , leur incapacité à honorer la promesse d'arrêter de fumer ou de mettre des prothèses mammaires La liste est longue .
La mémoire est courte .
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De temps à autre , je pense à tonton Freud : ce que veulent les femmes ?
Ça dépend ...
Je peux faire une liste de courses , mais ce serait trivial .
Elles veulent des serviettes hygiéniques , un peu d'égard , beaucoup de tendresse , une émotivité rassurante , une épaule large , un ventre mou et une bandaison dure ... Un frigo plein , un évier vide , un compte en banque garni et une belle - mère morte de préférence ...
Elles veulent que tu te rappelles de leur date d'anniversaire , de l'anniversaire de la rencontre sur Tinder , de l'anniversaire de la première baise , de l'anniversaire de la première sodomie , de l'anniversaire du chat de gouttière qui veut occuper ta place sur le lit , mais elles veulent aussi que tu oublies leurs bourdes , leurs bourrelets , leurs promesses pas tenues , leur incapacité à honorer la promesse d'arrêter de fumer ou de mettre des prothèses mammaires...
La liste est longue .
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