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Critique de Petitebijou
Il n'est pas facile de suivre cette histoire en trois tomes. L'auteur a choisi de nous présenter le récit fragmenté, avec de multiples flash-backs, avec pour unique repère un fameux « jour 0 », sorte de point dans l'eau d'où s'échappent de nombreux cercles concentriques.
Les lieux comme les époques s'enchainent dans une logique qui je l'avoue m'a échappée jusqu'au terme du troisième tome. Et j'aurais été davantage perdue si je n'avais pas trouvé un résumé écrit au début du tome 2 et du tome 3.
Le jour 0 un homme a un accident de voiture. On lui greffe une mâchoire et le bras gauche, qui présentent des tatouages.
A partir de là, nous allons (assez laborieusement pour ma part) croiser des amérindiens en 1830 victimes du génocide américain, d'autres indiens militaires en 1945, des membres du FBI de nos jours, une fausse infirmière, des joueurs de casino, tous partie prenante de cette énigme prenant sa source dans l'encre des tatouages.
L'action se déroule principalement à La Havane. Pour décor, les personnages évoluent dans la jungle, un casino, un zoo…
On ne peut nier que l'imagination de l'auteur et son ingéniosité sont évidentes. Il a manifestement subtilement agencé son scénario, peut-être un peu trop subtilement pour moi. Je ne déteste pas les ellipses ou le désordre apparent, mais ici on manque réellement de repère et j'ai éprouvé un grand sentiment de confusion plus que de plaisir à lire cette BD.
D'autant que, c'est ce qui est le plus regrettable à mon sens, je n'ai pas été particulièrement conquise par les dessins. Je ne sais pas vraiment pourquoi : ils ne m'ont pas été agréables à l'oeil, tout simplement. C'est un argument pauvre mais c'est tout ce que j'ai. Les couleurs sont trop froides, certaines pages sont mangées par un texte un peu soporifique…
A vrai dire, je pense que j'aurais bien aimé suivre cette histoire qui pourrait être passionnante sous forme de roman. Je ne suis pas certaine que l'auteur prenne ceci pour un compliment. Cette saga sera peut-être davantage agréable à lire à un amateur chevronné de BD.
Les lieux comme les époques s'enchainent dans une logique qui je l'avoue m'a échappée jusqu'au terme du troisième tome. Et j'aurais été davantage perdue si je n'avais pas trouvé un résumé écrit au début du tome 2 et du tome 3.
Le jour 0 un homme a un accident de voiture. On lui greffe une mâchoire et le bras gauche, qui présentent des tatouages.
A partir de là, nous allons (assez laborieusement pour ma part) croiser des amérindiens en 1830 victimes du génocide américain, d'autres indiens militaires en 1945, des membres du FBI de nos jours, une fausse infirmière, des joueurs de casino, tous partie prenante de cette énigme prenant sa source dans l'encre des tatouages.
L'action se déroule principalement à La Havane. Pour décor, les personnages évoluent dans la jungle, un casino, un zoo…
On ne peut nier que l'imagination de l'auteur et son ingéniosité sont évidentes. Il a manifestement subtilement agencé son scénario, peut-être un peu trop subtilement pour moi. Je ne déteste pas les ellipses ou le désordre apparent, mais ici on manque réellement de repère et j'ai éprouvé un grand sentiment de confusion plus que de plaisir à lire cette BD.
D'autant que, c'est ce qui est le plus regrettable à mon sens, je n'ai pas été particulièrement conquise par les dessins. Je ne sais pas vraiment pourquoi : ils ne m'ont pas été agréables à l'oeil, tout simplement. C'est un argument pauvre mais c'est tout ce que j'ai. Les couleurs sont trop froides, certaines pages sont mangées par un texte un peu soporifique…
A vrai dire, je pense que j'aurais bien aimé suivre cette histoire qui pourrait être passionnante sous forme de roman. Je ne suis pas certaine que l'auteur prenne ceci pour un compliment. Cette saga sera peut-être davantage agréable à lire à un amateur chevronné de BD.
