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Critique de Lprieur
Je viens à peine de recevoir Comme convenu (T.2) par la poste, et je l'ai dévoré - à nouveau, bien sûr.
Que dire sinon que j'ai adoré suivre cette "aventure", jour après jour, sur le blog de Laurel. le mot n'est peut-être pas bien choisi : leur histoire ne semble pas née du hasard au vu du caractère de Luc et Joffrey ! Diable, qu'ils semblent machiavéliques, Joffrey surtout ! Clairement, le pari est réussi : ils sont haïssables ou plutôt, dirais-je, méprisables.
Certains moment sont particulièrement forts car la tension va grandissante au fur et à mesure qu'Adrien et Laurel subissent les affres de leur travail. J'ai été particulièrement touchée par la détresse de Laurel que le dessin sombre et la typographie expriment d'une façon vertigineuse ; et par la ténacité d'Adrien, qui résiste (prouve que tu existes...) face à cet odieux personnage, qui rassure Laurel en endurant seul le poids de leur situation financière catastrophique.
En fait, chacun résiste à sa manière ; tous deux restent soudés. C'est une "belle" histoire, certes parce qu'elle se finit bien, mais surtout parce qu'après tant d'efforts de leur part, quelle déconvenue c'eût été de les voir échouer ! Je crois qu'il reste en moi (et je ne pense pas être la seule) une grande âme optimiste qui prône la victoire des "gentils" ...
Laurel souhaitait offrir à sa fille la possibilité de voir "l'envers du décor", d'adopter leur point de vue : je pense que c'est réussi, car il est difficile de ne pas adhérer à Comme convenu !
Quant au pouvoir cathartique de l'écriture... il n'est plus à démontrer.
Que dire sinon que j'ai adoré suivre cette "aventure", jour après jour, sur le blog de Laurel. le mot n'est peut-être pas bien choisi : leur histoire ne semble pas née du hasard au vu du caractère de Luc et Joffrey ! Diable, qu'ils semblent machiavéliques, Joffrey surtout ! Clairement, le pari est réussi : ils sont haïssables ou plutôt, dirais-je, méprisables.
Certains moment sont particulièrement forts car la tension va grandissante au fur et à mesure qu'Adrien et Laurel subissent les affres de leur travail. J'ai été particulièrement touchée par la détresse de Laurel que le dessin sombre et la typographie expriment d'une façon vertigineuse ; et par la ténacité d'Adrien, qui résiste (prouve que tu existes...) face à cet odieux personnage, qui rassure Laurel en endurant seul le poids de leur situation financière catastrophique.
En fait, chacun résiste à sa manière ; tous deux restent soudés. C'est une "belle" histoire, certes parce qu'elle se finit bien, mais surtout parce qu'après tant d'efforts de leur part, quelle déconvenue c'eût été de les voir échouer ! Je crois qu'il reste en moi (et je ne pense pas être la seule) une grande âme optimiste qui prône la victoire des "gentils" ...
Laurel souhaitait offrir à sa fille la possibilité de voir "l'envers du décor", d'adopter leur point de vue : je pense que c'est réussi, car il est difficile de ne pas adhérer à Comme convenu !
Quant au pouvoir cathartique de l'écriture... il n'est plus à démontrer.
