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Critique de Cronos
Je m'attendais à un roman avant de le commencer, il était classé dans ce rayon donc grosse surprise en lisant le premier chapitre, c'est un témoignage, je me suis même arrêté pour vérifier le genre du livre.
La plume n'est pas exceptionnelle mais ce qu'elle raconte oui. La façon dont des jeunes femmes se font piéger pour finir enfermer à 40 dans un harem royal. C'est aussi ce qui m'a fait penser à un roman avant de le lire entièrement, le piège semble tellement gros avec le recul que j'y voyais un moyen de dénoncer ce genre de pratique de recollement avant l'arrivée des réseaux sociaux.
En quête de gloire dans le milieu du cinéma, elle ne refuse aucun rôle quand une soi-disante directrice de casting lui offre 20 000$ pour aller faire la fête dans un palais à l'autre bout du monde chez un riche homme d'affaire. Jillian Lauren raconte dans les moindres détails l'avant, que j'ai un peu survolé sur la fin, le pendant et un peu l'après. Les temporalités se mélanges souvent, il manque une structure, la lecture devient confuse également avec l'ajout de trop de détails au milieu de phrase.
L'intérêt de cette vie cloitré dans un harem est indéniable, ce qui m'a le plus surpris c'est que ce ne sont pas les règles du palais le plus dur au quotidien mais les autres femmes en constante compétition pour gagner les faveurs d'un prince, elles font preuves de beaucoup de violence.
Pour terminer, même s'il y a des longueurs, le récit vaut bien un peu de patience.
La plume n'est pas exceptionnelle mais ce qu'elle raconte oui. La façon dont des jeunes femmes se font piéger pour finir enfermer à 40 dans un harem royal. C'est aussi ce qui m'a fait penser à un roman avant de le lire entièrement, le piège semble tellement gros avec le recul que j'y voyais un moyen de dénoncer ce genre de pratique de recollement avant l'arrivée des réseaux sociaux.
En quête de gloire dans le milieu du cinéma, elle ne refuse aucun rôle quand une soi-disante directrice de casting lui offre 20 000$ pour aller faire la fête dans un palais à l'autre bout du monde chez un riche homme d'affaire. Jillian Lauren raconte dans les moindres détails l'avant, que j'ai un peu survolé sur la fin, le pendant et un peu l'après. Les temporalités se mélanges souvent, il manque une structure, la lecture devient confuse également avec l'ajout de trop de détails au milieu de phrase.
L'intérêt de cette vie cloitré dans un harem est indéniable, ce qui m'a le plus surpris c'est que ce ne sont pas les règles du palais le plus dur au quotidien mais les autres femmes en constante compétition pour gagner les faveurs d'un prince, elles font preuves de beaucoup de violence.
Pour terminer, même s'il y a des longueurs, le récit vaut bien un peu de patience.
