Je prends conscience d'avoir, trop longtemps, vécu dans l'erreur : le paradis n'est pas un paysage verdoyant, couvert de mousses et de fontaines luxuriantes. C'est une terre de vieilles boues craquelées, sans oiseau, sans herbe, aride et désolée.
Vanité que de vouloir exercer un quelconque contrôle sur le cours de sa vie.