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Critique de Alfaric


Ce tome 3 intitulé "La Nuit des mécréants" ressemble à s'y méprendre à un récit de la série "Vasco" de Gilles Chaillet, et comme Janus ressemble de plus en plus à Lorenzo Baglioni on se demande à quoi sert Fei Wong qui donne son nom à la série mais qui est désormais plus spectateur qu'acteur récit (voir devient un peu l'Enak de l'Alix incarné par Janus)… Les deux compère sont recherchés par les autorités et cherche à quitter la ville et poursuivre leur périple, sauf que c'est la quasi guerre civile entre les optimates qui veulent renouer avec la passé (« Make Venice Great Again ») et les populares qui veut construire une nouvelle Venise bien meilleure que l'ancienne, et que les meutes de pourritures carriéristes misent sur l'un et l'autre camp dans l'espoir de juteuses récompenses pour services rendus aux vainqueurs. C'est ainsi que Janus est contacté par une ancienne connaissance pour déjouer une tentative d'attentat de la part des Turcs Ottomans en guerre contre Venise (invasion, occupation, choc de civilisation et tout ça), alors que les assassins mamelouks sont toujours à sa recherche pour ramener sa tête au Caire. Intrigues, complots, retournements de situation, péripéties pulpiennes et justice immanente permettent à Janus et Fei Wong de continuer l'odyssée… Sauf que ce tome 3 porte l'étiquette « fin de cycle » : généralement cela veut dire que la fin reste ouverte mais que la série n'a pas rencontrer suffisamment de lecteurs et de lectrices pour être continuée !
Si le récit de Michaël le Galli tient encore bien la route quand même, je suis de moins en moins convaincu par les graphismes de Cristiano Crescenzi qui officie dans une BD franco-belge à l'ancienne sans les qualités de la BD franco-belge à l'ancienne (les auteurs ont-ils eu le temps nécessaire de réaliser ce tome 3 : j'ai comme un doute voire un gros doute)…
PS : anachronisme sympathoche en fin d’album, avec Janus qui cite un philosophe qui naîtra plus de 500 ans après lui ^^
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