Bien que très érudit, l'ouvrage se lit admirablement bien et se déguste sans même se rendre compte qu'on ingurgite une page d'histoire obscure (la chute de l'empire romain, vers l'an 410).
J'ai également beaucoup aimé le retrait et la modestie dont fait preuve l'auteur dans l'introduction, en se présentant comme le "traducteur" de la correspondance, tout en évoquant la disparition de l'original.
J'y vois un clin d'oeil au prologue du Nom de la Rose...
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