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Critique de Nikouette
Suite à une catastrophe nucléaire les humains ont été annihilés. Dans le même temps certains robots se regroupent dans la ville abritant l'entreprise les ayant élaborés. Cette catastrophe particulière leur a permis de sortir de leur programmation de départ : ils prennent conscience de leur existence et développent ainsi des facultés dites « humaines » (pensée, émotions, doutes, dépression, amour, etc), qu'ils apprivoisent peu à peu.
A travers cette société de robots qui s'organise petit à petit et les réflexions de ceux-ci, c'est bien entendu d'une critique de la société humaine dont il est question. Humains qui sont capables du pire comme du meilleur : destruction de leurs pairs et de leur environnement, mais aussi apprentissage, création artistique et rire.
le roman est une suite d'interrogations, non dépourvues d'intérêt, mais il est un peu longuet par moments et presque un peu trop gentil. La société qu'il montre est complètement utopique : tout le monde est gentil, est ami et développe ses propres centres d'intérêts tout en en faisant profiter la communauté. Les robots en viennent à presque trop ressembler aux humains, tout en représentant la société harmonieuse que ces derniers n'ont pas su créer. Ceci dit, la fin nuance un peu le reste du récit, mais elle est presque trop brutale. Elle est déstabilisante et pousse à s'interroger encore, mais n'en demeure pas moins une note pessimiste au milieu d'un (trop ?) grand bain d'optimisme. le message est clair, l'idée est bonne, les personnages assez attachants, malgré tout je n'ai pas réussi à adhérer complètement.
A travers cette société de robots qui s'organise petit à petit et les réflexions de ceux-ci, c'est bien entendu d'une critique de la société humaine dont il est question. Humains qui sont capables du pire comme du meilleur : destruction de leurs pairs et de leur environnement, mais aussi apprentissage, création artistique et rire.
le roman est une suite d'interrogations, non dépourvues d'intérêt, mais il est un peu longuet par moments et presque un peu trop gentil. La société qu'il montre est complètement utopique : tout le monde est gentil, est ami et développe ses propres centres d'intérêts tout en en faisant profiter la communauté. Les robots en viennent à presque trop ressembler aux humains, tout en représentant la société harmonieuse que ces derniers n'ont pas su créer. Ceci dit, la fin nuance un peu le reste du récit, mais elle est presque trop brutale. Elle est déstabilisante et pousse à s'interroger encore, mais n'en demeure pas moins une note pessimiste au milieu d'un (trop ?) grand bain d'optimisme. le message est clair, l'idée est bonne, les personnages assez attachants, malgré tout je n'ai pas réussi à adhérer complètement.
