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Critique de alberthenri
La publication de la revue le Visage Vert, constitue en soi une véritable aventure littéraire et éditoriale.
Qu'on en juge : le N°13, publié chez Joëlle Losfeld, date de mai 2003, le N°14 de...Juin 2007.
Quatre ans d'attente donc, il faut de la ténacité à l'équipe d'une revue pour la faire renaitre de ses cendres après plusieurs années !
C'est chez l'éditeur Zulma, que le Visage Vert fit son retour.
Avec cette livraison, sous une maquette entièrement repensée, couverture façon affiche ancienne, texte encadré, la revue revient avec pour ce N° la thématique "Amateurs in suffering", ou la fascination morbide pour le spectacle de la souffrance, et plus spécifiquement les exécutions publiques.
Au sommaire, des textes d'auteurs "sulfureux" tels que Jean Lorrain, ou l'allemand H.H.Ewers, un texte de Huysmans sur Damiens.
Une étude de l'esthétique de la cruauté par Delphine Durand.
Nous trouvons aussi des choses plus légères, comme ce conte exotique de Fitz-James O'Brien.
Au risque de me répéter, car je pense l'avoir déjà écrit ailleurs, il faut saluer le travail patient et passionné de Xavier Legrand-Ferronnière et de son équipe, travail d'amoureux des lettres et des auteurs méconnus ou oubliés.
Qu'on en juge : le N°13, publié chez Joëlle Losfeld, date de mai 2003, le N°14 de...Juin 2007.
Quatre ans d'attente donc, il faut de la ténacité à l'équipe d'une revue pour la faire renaitre de ses cendres après plusieurs années !
C'est chez l'éditeur Zulma, que le Visage Vert fit son retour.
Avec cette livraison, sous une maquette entièrement repensée, couverture façon affiche ancienne, texte encadré, la revue revient avec pour ce N° la thématique "Amateurs in suffering", ou la fascination morbide pour le spectacle de la souffrance, et plus spécifiquement les exécutions publiques.
Au sommaire, des textes d'auteurs "sulfureux" tels que Jean Lorrain, ou l'allemand H.H.Ewers, un texte de Huysmans sur Damiens.
Une étude de l'esthétique de la cruauté par Delphine Durand.
Nous trouvons aussi des choses plus légères, comme ce conte exotique de Fitz-James O'Brien.
Au risque de me répéter, car je pense l'avoir déjà écrit ailleurs, il faut saluer le travail patient et passionné de Xavier Legrand-Ferronnière et de son équipe, travail d'amoureux des lettres et des auteurs méconnus ou oubliés.
