>
Critique de Fifibrinda
Bonnefemme, toujours penchée sur ses devoirs, est devenue bossue. Bonhomme pense plus à s'amuser qu'à étudier. Il est souvent puni, ne sait ni lire ni écrire… Leur rencontre improbable scelle une solide amitié, nourrie d'entraide et de complicité.
Ce petit album à l'italienne, hélas épuisé en librairie, est une réussite, tant graphique que littéraire. L'auteur y révèle ses qualités de peintre, au travers de magnifiques illustrations en noir sur fond de couleurs chaudes, qui évoquent à la fois les collages de matisse et les fresques du Tassili. Quant au récit, c'est un hymne à la liberté et à l'individualité opposées à la société répressive et violente.
Ce petit album à l'italienne, hélas épuisé en librairie, est une réussite, tant graphique que littéraire. L'auteur y révèle ses qualités de peintre, au travers de magnifiques illustrations en noir sur fond de couleurs chaudes, qui évoquent à la fois les collages de matisse et les fresques du Tassili. Quant au récit, c'est un hymne à la liberté et à l'individualité opposées à la société répressive et violente.
