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Critique de ladesiderienne


Ça y est, c'est (enfin) fini ! Permettez que je salue au passage ma persévérance qui m'a permis d'aller au bout de cette série de quatre romans d'Alexis Lecaye, attirée dans mon choix par les titres que j'avais trouvés assez accrocheurs.
A la belote, avec une dame de coeur, de carreau, de pique et de trèfle, vous avez un carré qui vaut 100 points. L'ensemble ne les vaut pas : un petit cinquante, et encore, en étant généreuse.
Cherchez le paradoxe, mais moi, qui suis une grande fan de polars en tout genre, j'ai horreur des séries télévisées policières. Je n'ai d'ailleurs pas regardé l'adaptation qui a été faite de ces romans, diffusée récemment. Malgré une bonne idée de départ de l'histoire, je trouve une fois de plus que le scénariste prend la place sur l'écrivain et j'ai eu l'impression de me retrouver devant mon écran télé.
A aucun moment, je n'ai pu m'attacher à ce pauvre commissaire Martin, toujours entre deux déprimes et constamment empêtré dans ses affaires de coeur. Cette fois-ci, mêlé à une sombre histoire de "coucherie" dont il n'a pas grand souvenir et fidèle à sa réputation, il va encore s'attirer des ennuis (un peu comme l'aimant avec le fer).
Pas de chance, il s'agit de l'épouse du dirigeant (assez brutal et peu enclin à la discussion) d'une puissante organisation liée à l'enquête qu'il mène sur une secte canadienne. Curieux hasard, n'est-ce pas ? Justement, je trouve que ce fameux hasard fait un peu trop bien les choses et c'est l'impression que j'ai eue tout au long de la série : pour parvenir à la résolution des enquêtes, l'auteur enchaine des évènements forcés, assez improbables.
Bref, cela sonne faux...
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