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Critique de Monrevedete
Cette histoire, c'est celle d'une rencontre. Deux êtres abîmés par la vie que le destin a mis sur le même chemin, comme un signe. Une valise oubliée, des regards qui se croisent, s'accrochent et signent le début d'une histoire à écrire à deux…
J'ai mis du temps avant d'entrer pleinement dans l'histoire. J'avais eu du mal avec le dernier roman de l'autrice que j'avais lu lors du premier confinement donc j'avais peut-être quelques a priori. Mais au fil des pages, j'ai appris à connaître Capucine et Adrien. Et inévitablement, je me suis attachée à eux, grâce à leur histoire, à leur vécu…Ils n'ont pas une vie facile, ce sont deux êtres que la vie n'a pas épargnés. L'un et l'autre ont vécu un drame qui les a marqués et fragilisés…
Les sujets abordés sont, une nouvelle fois, sensibles et délicats. Comme souvent avec Agnès Ledig, les émotions sont au rendez-vous. Pourtant, on est loin du pathos. Au contraire, c'est juste, les mots sont posés et dosés. J'ai beaucoup aimé la construction du récit, avec des chapitres courts, alternant entre les différents personnages, passant de la première à la troisième personne du singulier pour mieux comprendre chaque protagoniste évoqué, qu'ils soient au centre du récit ou plus secondaires.
Les personnages sont tous à fleurs de peau, un peu cabossés mais ils ne demandent qu'une chose : se reconstruire et aller de l'avant. Il y a de l'espoir, des bons sentiments, de la pudeur et surtout beaucoup de force et d'amour.
Et puis il y a Blum, un chien pas comme les autres. Comme un trait d'union entre les deux, pour penser les peines et relier les coeurs. On est plongés en pleine nature où la faune et la flore jouent toutes deux un rôle important. Comme si le plus important pour aller de l'avant, c'était de se relier à l'essentiel pour se défaire du passé et avancer quand on n'a pas d'autres choix.
Avec une plume pleine de poésie, Agnès Ledig nous conte une histoire de vie, emplie d'espoir, qui prend encore plus de sens quand on lit les mots de l'auteure à la fin.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
J'ai mis du temps avant d'entrer pleinement dans l'histoire. J'avais eu du mal avec le dernier roman de l'autrice que j'avais lu lors du premier confinement donc j'avais peut-être quelques a priori. Mais au fil des pages, j'ai appris à connaître Capucine et Adrien. Et inévitablement, je me suis attachée à eux, grâce à leur histoire, à leur vécu…Ils n'ont pas une vie facile, ce sont deux êtres que la vie n'a pas épargnés. L'un et l'autre ont vécu un drame qui les a marqués et fragilisés…
Les sujets abordés sont, une nouvelle fois, sensibles et délicats. Comme souvent avec Agnès Ledig, les émotions sont au rendez-vous. Pourtant, on est loin du pathos. Au contraire, c'est juste, les mots sont posés et dosés. J'ai beaucoup aimé la construction du récit, avec des chapitres courts, alternant entre les différents personnages, passant de la première à la troisième personne du singulier pour mieux comprendre chaque protagoniste évoqué, qu'ils soient au centre du récit ou plus secondaires.
Les personnages sont tous à fleurs de peau, un peu cabossés mais ils ne demandent qu'une chose : se reconstruire et aller de l'avant. Il y a de l'espoir, des bons sentiments, de la pudeur et surtout beaucoup de force et d'amour.
Et puis il y a Blum, un chien pas comme les autres. Comme un trait d'union entre les deux, pour penser les peines et relier les coeurs. On est plongés en pleine nature où la faune et la flore jouent toutes deux un rôle important. Comme si le plus important pour aller de l'avant, c'était de se relier à l'essentiel pour se défaire du passé et avancer quand on n'a pas d'autres choix.
Avec une plume pleine de poésie, Agnès Ledig nous conte une histoire de vie, emplie d'espoir, qui prend encore plus de sens quand on lit les mots de l'auteure à la fin.
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