Après l'avoir ouvert en pensant retrouver l'aspect onirique si spécial d'un Murakami Coréen — grossière erreur — il ne s'agit en grande partie que d'un conte pour enfants à l'écriture simple, très, trop simple.
Les rares passages intéressants à mon goût ne se situent que lorsque les rêves adoucissent la réalité des protagonistes.
Le reste aborde un peu trop la finance et l'organisation d'un grand magasin fort éloigné du Bonheur des Dames et nappé d'une forme de fantasy.
Ce grand magasin sera vite oublié… dès que je me serai réveillé.
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