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Critique de Sacajawa
Un roman qui nous emporte dès les premières pages telle une passion dévorante.
Dès les premières pages, que dis-je, dès la couverture pour ma part... avec cette magnifique illustration qui invite déjà aux souvenirs d'un amour de jeunesse sur la plage.
Ce roman m'a tenu en haleine (j'ai été dormir tard, très tard, ces 2 derniers soirs!). J'ai fait défiler les pages la boule au ventre d'être le témoin omniscient de l'amour dans toute sa profondeur et sa douleur : rendez-vous manqués, épreuves extérieures, guerre d'égo, malentendus, interprétations, pudeur mal placée, manque de synchronisation dans la vie et les prises de conscience,...
Il faut dire que la narration alternée entre les 2 personnages principaux ainsi qu'oscillant entre passé et présent rend compte de toute la profondeur des doutes, des sentiments et des ressentiments !
Les personnages secondaires même si on aimerait les détester sont eux aussi très attachants ce qui nous fait vivre ce dilemme jusqu'aux tripes au creux desquelles la morale reste au centre du récit. Ce qui a fait, pour moi, de ce roman une telle pépite.
Dès les premières pages, que dis-je, dès la couverture pour ma part... avec cette magnifique illustration qui invite déjà aux souvenirs d'un amour de jeunesse sur la plage.
Ce roman m'a tenu en haleine (j'ai été dormir tard, très tard, ces 2 derniers soirs!). J'ai fait défiler les pages la boule au ventre d'être le témoin omniscient de l'amour dans toute sa profondeur et sa douleur : rendez-vous manqués, épreuves extérieures, guerre d'égo, malentendus, interprétations, pudeur mal placée, manque de synchronisation dans la vie et les prises de conscience,...
Il faut dire que la narration alternée entre les 2 personnages principaux ainsi qu'oscillant entre passé et présent rend compte de toute la profondeur des doutes, des sentiments et des ressentiments !
Les personnages secondaires même si on aimerait les détester sont eux aussi très attachants ce qui nous fait vivre ce dilemme jusqu'aux tripes au creux desquelles la morale reste au centre du récit. Ce qui a fait, pour moi, de ce roman une telle pépite.
