Attention, voyage dans les contrées australes !
Depuis le ciel étiré de la couverture aux chevauchées de
David Lefèvre, on se laisse rapidement happer par le pampero des steppes, vent lunatique autant qu'extrême. Malgré quelques répétitions un peu gauche, on se prend volontiers à la liberté du gaucho. Finalement, ce vent devient plus suave qu'il en a l'air. Plus volubile aussi. A ceci près, qu'à l'écho des mots, on se sent un peu frustré de n'y être sous même, de fouler l'espace infini sur lequel s'appuie la Cordelière.
Du titre du livre, tout est dit, et c'est quelque peu dommage. Il manque l'histoire, la vraie, sorte de fil rouge à l'émotion.
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