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Critique de Esorlecram
Grosse déception ! Ce « grand maître du thriller diabolique » ne m'a pas fait trembler un seul instant !
Dans les deux premiers tiers du roman, l'auteur nous raconte-mal- une histoire assez banale : dialogues sans intérêt, nombreux détails sans importance. Pourquoi par exemple citer le nom de toutes les rues empruntées par les personnages au cours de leurs déplacements ? Seuls les habitants de Boston apprécieront.
Le seul suspense consiste à se demander si Brian a une double vie, ce qui serait étonnant pour un mari aussi gentil, qui aide son épouse Rachel à vaincre sa claustrophobie, son agoraphobie, ses nombreuses crises d'angoisse, qui font qu'elle passe même plusieurs mois sans mettre le pied dehors !
Le dernier tiers du bouquin est beaucoup plus animé, totalement rocambolesque, frisant souvent le ridicule. On tue, bien sûr, mais certains ressuscitent ! Et les personnages à deux doigts d'être trucidés gardent un recul, voire un sens de l'humour pour le moins étonnants.
J'ai été jusqu' au bout par principe, pas pour connaitre la fin, que je prévoyais aussi nulle que le reste : j'avais malheureusement raison.
Dans les deux premiers tiers du roman, l'auteur nous raconte-mal- une histoire assez banale : dialogues sans intérêt, nombreux détails sans importance. Pourquoi par exemple citer le nom de toutes les rues empruntées par les personnages au cours de leurs déplacements ? Seuls les habitants de Boston apprécieront.
Le seul suspense consiste à se demander si Brian a une double vie, ce qui serait étonnant pour un mari aussi gentil, qui aide son épouse Rachel à vaincre sa claustrophobie, son agoraphobie, ses nombreuses crises d'angoisse, qui font qu'elle passe même plusieurs mois sans mettre le pied dehors !
Le dernier tiers du bouquin est beaucoup plus animé, totalement rocambolesque, frisant souvent le ridicule. On tue, bien sûr, mais certains ressuscitent ! Et les personnages à deux doigts d'être trucidés gardent un recul, voire un sens de l'humour pour le moins étonnants.
J'ai été jusqu' au bout par principe, pas pour connaitre la fin, que je prévoyais aussi nulle que le reste : j'avais malheureusement raison.
