Ce récit a la tristesse d'être tiré d'un fait réel plutôt que de l'imagination de l'auteur. La double peine vient de son caractère autobiographique.
La charge d'émotion qui en résulte est forcément authentique, et effroyable.
Vous n'aurez pas ma haine, exprime l'intelligence d'une civilisation marchant au bord d'un précipice.
Antoine, vous avez le droit.
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