>
Critique de gaeldelair
La grande crise économique du 4 avril change radicalement la société: il n'y a plus d'argent dans les banques, plus de moyen de se nourrir, de se vêtir, de se protéger ou de se soigner facilement. Chacun doit lutter pour survivre.
Noé avait commencé à réfléchir à ces points et à se préparer en rencontrant des survivalistes, qui comme lui pensaient que les choses allaient dégénérer. Il a appris quelques notions sur les armes, l'agriculture et comment créer une base où vivre caché en autonomie. Au cours de sa préparation il a rencontré Julie, qui lui a montré le bushcraft : l'art de vivre dans les bois. Tous deux sont contraints de s'adapter et de s'organiser ensemble, malgré leurs différences de philosophies radicales, quand le monde devient une jungle où seuls subsistent les mieux préparés.
Un livre post-apocalyptique très original parce qu'assez réaliste. Il pose en filigrane la question: "Jusqu'où peut-on aller pour survivre?"
Noé avait commencé à réfléchir à ces points et à se préparer en rencontrant des survivalistes, qui comme lui pensaient que les choses allaient dégénérer. Il a appris quelques notions sur les armes, l'agriculture et comment créer une base où vivre caché en autonomie. Au cours de sa préparation il a rencontré Julie, qui lui a montré le bushcraft : l'art de vivre dans les bois. Tous deux sont contraints de s'adapter et de s'organiser ensemble, malgré leurs différences de philosophies radicales, quand le monde devient une jungle où seuls subsistent les mieux préparés.
Un livre post-apocalyptique très original parce qu'assez réaliste. Il pose en filigrane la question: "Jusqu'où peut-on aller pour survivre?"
