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Critique de bdelhausse
Les auteurs donnent une version de l'histoire de Jerusalem. Je ne vais pas leur contester leur vision. Ils fournissent en fin de tome une impressionnante bibliographie, dont je ne peux pas juger la pertinence. Cela dit, je ne suis pas sûr que la BD (aussi documentée soit-elle) soit la meilleure manière d'aborder l'histoire exaustive d'une ville, d'un pays ou d'un personnage.
4000 ans d'histoire de la ville au centre d'un conflit quasi mondial, réclamée par les trois principales religions monothéistes en 250 pages, et racontée par un olivier millénaire faisant face à la ville. Et j'ai trouve cela long, très long et indigeste au début. Les noms, les dates, les détails de l'Histoire et les petites histoires qui la composent. C'était long. Et répétitif. J'ai relevé la tête à la période ottomane (16è siècle), sans doute parce que j'ai plus d'atomes crochus avec cette les événements plus récents.
Une lecture pour les curieux, pour les férus d'Histoire, principalement. Je ne regrette pas ma lecture même s'il n'est pas certain que j'en garde énormément. Cette histoire de Jérusalem a confirmé mon idée sur les religions et les extrémismes. Combien de rendez-vous manqués au cours des siècles? Combien d'occasions de vivre ensemble bafouées par les extrémismes de tous bords? La religion est une des pires inventions humaines.
Jusqu'au bout, j'ai également lutté contre le dessin. Je ne suis pas exigeant, et je peux m'accommoder d'imperfections, mais j'ai eu parfois du mal.
4000 ans d'histoire de la ville au centre d'un conflit quasi mondial, réclamée par les trois principales religions monothéistes en 250 pages, et racontée par un olivier millénaire faisant face à la ville. Et j'ai trouve cela long, très long et indigeste au début. Les noms, les dates, les détails de l'Histoire et les petites histoires qui la composent. C'était long. Et répétitif. J'ai relevé la tête à la période ottomane (16è siècle), sans doute parce que j'ai plus d'atomes crochus avec cette les événements plus récents.
Une lecture pour les curieux, pour les férus d'Histoire, principalement. Je ne regrette pas ma lecture même s'il n'est pas certain que j'en garde énormément. Cette histoire de Jérusalem a confirmé mon idée sur les religions et les extrémismes. Combien de rendez-vous manqués au cours des siècles? Combien d'occasions de vivre ensemble bafouées par les extrémismes de tous bords? La religion est une des pires inventions humaines.
Jusqu'au bout, j'ai également lutté contre le dessin. Je ne suis pas exigeant, et je peux m'accommoder d'imperfections, mais j'ai eu parfois du mal.
