Une histoire douce avec des images à la
Sempé, à hauteur de petit (c'est le cas de le dire) qui permet de dire l'impatience de grandir, de se sentir chenille alors qu'on se rêve papillon. Les subtils décalages entre le texte et l'image permettent à l'enfant qui s'identifie de penser plus grand et plus large jusqu'à la chute dont on trouve l'indice dès la première page.
Commenter  J’apprécie         00