Troisième tome des Enfants de Salonique (cette trilogie basée sur le pacte liant des amis d'enfance), Diane étudie les relations d'amitié fraternelle entre hommes qui s'entraident mais en viennent à se trahir lorsque l'amour rentre en jeu.
Après avoir aimé le poète Démosthène devenu ministre corrompu et exilé à Paris, après avoir aimé Basile, hommes d'armes et de pouvoir resté tout au fond de son cynisme un petit garçon traumatisé, Diane saura-t-elle se tourner vers celui qui n'a jamais trahi (Péricles)?
Y a-t-il un destin semble interroger
Bernard Lentéric dans Les enfants de Salonique?
Comment une amitié se détruit-elle?
L'amour d'une femme est-il toujours lié à une notion de pouvoir ou de domination?
Qu'est-ce que le bonheur?
Trois tomes qui m'avaient jadis touchée et me touchent toujours autant.Et n'est ça le but de tout bon roman (ou de l'Art en général) toucher son public?
Commenter  J’apprécie         40