Avis mitigé sur ce roman de
Christophe Léon. En bon point, il fait connaître la journée du 8 février 1962 avec les victimes du métro Charonne, en pleine guerre d'Algérie ; il montre bien aussi des relations père/fils d'autant plus fortes qu'ils sont engagés l'un et l'autre dans la lutte syndicale et politique, le communisme les associant dans la manifestation qui dégénéra. Mais les ruptures de niveaux de langue, avec certaines qui veulent faire populaires, font qu'on peine à y croire vraiment. La construction du roman le sauve cependant.
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