Encore une fois
Donna Leon dénonce la corruption et le laxisme en Italie. Ce n'est pas caricatural comme dans un mauvais film. Et non, ça ne m'empêche pas d'être un amoureux de l'Italie et en particulier de Venise.
Cette fois l'auteure nous confronte au trafic des femmes de l'Est et à la prostitution à grande échelle. En somme à ce que l'humain peut avoir de plus barbare. Même que en refermant ce roman on ressent un certain malaise.
Guido Brunetti, comme toujours, est profondément humain. Les personnages secondaires : la secrétaire Elletra (que j'aimerais bien rencontrer) et l'épouse Paola, sont très typés.
L'enquête et l'intrigue sont très bien menées. La plume de
Donna Leon est efficace et agréable à lire. On ne laisse pas notre lecture avant la fin.
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