Habituellement, j'aime bien les romans de
Donna Leon car ils se passent à Venise et son héros récurrent est quelqu'un d'équilibré et heureux et amateur de gastronomie, ça change des policiers malades, fatigués, dépressifs et alcooliques (ou tout ça à la fois).
Dans ce roman, l'intrigue n'est pas palpitante : on retrouve le cadavre d'un homme sans papiers sur lui. Brunetti se souvient l'avoir vu à la télé et on découvre qu'il s'agit d'un vétérinaire. Au passage l'auteur nous parle des abattoirs et de scandales dans le milieu de la viande mais ça se traine, l'enquête est poussive et ça se passe autant à Mestre qu'à Venise.
Donc déception, elle fera peut-être mieux la prochaine fois ?
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