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Critique de Arthore
S'agissant du début d'un second cycle d'une saga médiévale aux animaux anthropomorphiques, et étant précisé qu'il n'était pas nécessaire d'avoir lu le cycle 1 pour se plonger dans les méandres de l'histoire, j'ai donc répondu à la sollicitation de découverte de Babelio.
Je remercie les éditions Delcourt pour leur envoi.
Autant le dire immédiatement, se plonger dans l'histoire sans avoir lu les 6 tomes précédents n'est pas évident. Certes ce tome 7 est un album de remise en situation : La princesse Keona, otage à Angleon, a été libérée par la nouvelle souveraine et est de retour auprès de sa famille ; Alissa, héritière du clan mafieux du Sistre, sort de 5 ans de prison en ayant la ferme volonté de découvrir qui l'a faite tomber ; sans parler de plusieurs autres personnages qui sans lien les uns aux autres, se lancent dans des aventures très diverses.
L'action n'est pas centrale puisqu'il s'agit d'installer le lecteur dans un nouvel univers. Les personnages sont nombreux, un peu trop ; toutes les 2/3 pages nous passons à une autre mini histoire sous les traits de personnages pas toujours faciles à reconnaître. Mais le dessin est magnifique, les traits d'une extrême finesse, et la mise en couleur d'un sombre qui vient planter une atmosphère de défiance et de suspens.
La dernière page tournée laisse imaginer un tome 8 tout en rebondissements et en action.
A suivre donc
Je remercie les éditions Delcourt pour leur envoi.
Autant le dire immédiatement, se plonger dans l'histoire sans avoir lu les 6 tomes précédents n'est pas évident. Certes ce tome 7 est un album de remise en situation : La princesse Keona, otage à Angleon, a été libérée par la nouvelle souveraine et est de retour auprès de sa famille ; Alissa, héritière du clan mafieux du Sistre, sort de 5 ans de prison en ayant la ferme volonté de découvrir qui l'a faite tomber ; sans parler de plusieurs autres personnages qui sans lien les uns aux autres, se lancent dans des aventures très diverses.
L'action n'est pas centrale puisqu'il s'agit d'installer le lecteur dans un nouvel univers. Les personnages sont nombreux, un peu trop ; toutes les 2/3 pages nous passons à une autre mini histoire sous les traits de personnages pas toujours faciles à reconnaître. Mais le dessin est magnifique, les traits d'une extrême finesse, et la mise en couleur d'un sombre qui vient planter une atmosphère de défiance et de suspens.
La dernière page tournée laisse imaginer un tome 8 tout en rebondissements et en action.
A suivre donc
