Tout se passe comme si nous étions entrés dans uine période de déconstruction du vivre ensemble. Désormais, il n'y aurait plus rien à attendre du collectif. Seule compterait la performance individuelle.
Pourquoi entrer dans un collectif quand il n'y a plus de questions à se poser, quand le sondage d'opinion remplace l'analyse, quand la vie politique est rythmée par des statistiques et des chiffres ? Tout est "déja fait" par l'opinion. Elle est omniprésente. On dit même qu'elle est publique.