La première partie du livre « Il ne pourra plus… » m'a étonnée, choquée, comme si j'avais reçu un coup par surprise. Ce n'était pas l'état d'esprit de Tsahal que j'ai pu connaître même aux heures noires de la guerre de Kippour. Jamais je n'avais pu imaginer que les soldats seraient devenus des fauves de guerre. Naïve que je suis !
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