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Critique de LoupAlunettes
Un album pour faire aimer la mélodie des mots et les sens rigolos.
Mais pas que.
" C'est l'histoire d'une tortue, chapeau pointu, qui est très très énervée parce qu'elle s'est fait enguirlander par un lapin, hin hin, qui l'a enguirlander par un lapin, hin hin, qui l'a accusée d'avoir volé ses carottes, ah carottes, ah crotte! Et qui en plus, vient de s'apercevoir qu'on lui a chipé ses laitues, turlututu..."
S'associera à l'humour en rime d'Agnès de Lestrade, le style animalier très comique et presque BD de Guillaume Plantevin.
Et cela fonctionne, sur des gros plans en double-pages pour profiter de ses personnages.
Petite cerise sur le cake à la crème: une coccinelle (l'avez-vous vu?), qui s'incruste dans cette affaire d'état en conte randonnée. Et la terrible curieuse prendra à chaque fois des photos. Travaille t-elle pour un journal?
Cela ne nous dira pas qui a volé les mouches de la grenouille, les patates du cochon, les carottes du lapin, la laitue de la poule rousse.
Qui est le coupable?
La chute sera mignonne et on s'étonnera que ce coupable-ci se soit rabattu sur des légumes.
Avez-vous deviné, chers jeunes lecteurs?
Les jeunes lecteurs devraient bien en rire, offrant qui sait eux-mêmes en final des grognements à l'occasion loupée de ne pas avoir dévorer le dos d'un cochon bien gras, une aile de poule succulente, le ventre d'un lapin savoureux et les cuisses d'une grenouilles sans doute goûtues.
Mais est-ce bien la fin de cette histoire?
Mais pas que.
" C'est l'histoire d'une tortue, chapeau pointu, qui est très très énervée parce qu'elle s'est fait enguirlander par un lapin, hin hin, qui l'a enguirlander par un lapin, hin hin, qui l'a accusée d'avoir volé ses carottes, ah carottes, ah crotte! Et qui en plus, vient de s'apercevoir qu'on lui a chipé ses laitues, turlututu..."
S'associera à l'humour en rime d'Agnès de Lestrade, le style animalier très comique et presque BD de Guillaume Plantevin.
Et cela fonctionne, sur des gros plans en double-pages pour profiter de ses personnages.
Petite cerise sur le cake à la crème: une coccinelle (l'avez-vous vu?), qui s'incruste dans cette affaire d'état en conte randonnée. Et la terrible curieuse prendra à chaque fois des photos. Travaille t-elle pour un journal?
Cela ne nous dira pas qui a volé les mouches de la grenouille, les patates du cochon, les carottes du lapin, la laitue de la poule rousse.
Qui est le coupable?
La chute sera mignonne et on s'étonnera que ce coupable-ci se soit rabattu sur des légumes.
Avez-vous deviné, chers jeunes lecteurs?
Les jeunes lecteurs devraient bien en rire, offrant qui sait eux-mêmes en final des grognements à l'occasion loupée de ne pas avoir dévorer le dos d'un cochon bien gras, une aile de poule succulente, le ventre d'un lapin savoureux et les cuisses d'une grenouilles sans doute goûtues.
Mais est-ce bien la fin de cette histoire?
