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Critique de LoupAlunettes
: le nom " Sisyphe" nous dit bien quelque chose. En effet, il s'agit d'un personnage des mythes grecs comdamnés par les dieux à une action pour l'éternité.
Il y a eu Promethée attaché à un rocher, condamné à se faire dévorer un foie qui repousse par des rapaces, pour avoir offert le feu aux hommes et puis il y a eu Sisyphe, roi déchu, condamné à pousser un rocher jusqu'à un sommet. Sa punition devait prendre fin le rocher posé en haut, seulement ce dernier avait toujours tendance à lui échapper et rouler vers sa place d'origine.
Sacrés dieux facétieux!
Ils sont, dans ses histoires très forts pour imposer leur point de vue et le faire graver en mémoire jusqu'à ce que la leçon soit retenue.
Mais laissons cela.
Nous avons rendez-vous avec le monde des animaux.
Et cette nouvelle histoire aura plus de points communs avec le monde des hommes d'ailleurs.
Notre bousier méritera son nom, " Sisyphe", poussant sans fin des boules de crotte.
Et oui, c'est son job.
Jusqu'à ce que l'insecte décide de se mettre en grève, lassé de nettoyer la crotte de ses voisins.
C'est pourtant son rôle, me diriez-vous.
Mais peut-être que notre bousier serait en quête d'une reconnaissance plus évidente. Il y a, on doit le reconnaitre, des tâches de la grande chaine naturelle plus pénibles que d'autres.
De cette façon, les auteures Elisabeth Ludes Fraulob et Mona Leu-Leu aborderont, on le comprend, un aspect du quotidien des jeunes lecteurs et leur feront prendre conscience qu'il existe des tâches nécéssaires, dans la vie, qui ne sont pas des parties de plaisir et qu'il faille les respecter comme il se doit.
Imaginez, jeunes lecteurs, si vos mamans cessaient de ranger vos chambres, imaginez si les éboueurs d'une ville décidaient de ne plus ramasser les poubelles?
Vous avez compris, certainement.
Et c'est ce qui arrivera lorsque le bousier décidera de se dorer la pilule sur un monticule de terre, jusqu'à ce que les autres animaux prennent conscience du travail qu'il abat tous les jours.
Les jeunes lecteurs commenceront par en rire, c'est sûr, puisque la prairie se couvrira d'un tapis de crotte et il sera un peu difficile d'apercevoir à terme l'herbe bien verte.
Que demande en échange notre bousier?
C'est ce qu'il faudra découvrir, avant qu'il ne soit trop tard.
Le bousier nous amuse, dans son attitude relax. Il ne semble pas très coutûmier des vacances et cela semble finalement très agréable. Et bien voila.
Nous n'attendrons plus que la chute.
L'auteure ne manquera pas d'humour au fur et à mesure de son texte. Des volets seront à soulever, cela rendra le propos plus léger et redescendra aussi l'histoire à une hauteur plus enfantine.
C'est à découvrir.
Il y a eu Promethée attaché à un rocher, condamné à se faire dévorer un foie qui repousse par des rapaces, pour avoir offert le feu aux hommes et puis il y a eu Sisyphe, roi déchu, condamné à pousser un rocher jusqu'à un sommet. Sa punition devait prendre fin le rocher posé en haut, seulement ce dernier avait toujours tendance à lui échapper et rouler vers sa place d'origine.
Sacrés dieux facétieux!
Ils sont, dans ses histoires très forts pour imposer leur point de vue et le faire graver en mémoire jusqu'à ce que la leçon soit retenue.
Mais laissons cela.
Nous avons rendez-vous avec le monde des animaux.
Et cette nouvelle histoire aura plus de points communs avec le monde des hommes d'ailleurs.
Notre bousier méritera son nom, " Sisyphe", poussant sans fin des boules de crotte.
Et oui, c'est son job.
Jusqu'à ce que l'insecte décide de se mettre en grève, lassé de nettoyer la crotte de ses voisins.
C'est pourtant son rôle, me diriez-vous.
Mais peut-être que notre bousier serait en quête d'une reconnaissance plus évidente. Il y a, on doit le reconnaitre, des tâches de la grande chaine naturelle plus pénibles que d'autres.
De cette façon, les auteures Elisabeth Ludes Fraulob et Mona Leu-Leu aborderont, on le comprend, un aspect du quotidien des jeunes lecteurs et leur feront prendre conscience qu'il existe des tâches nécéssaires, dans la vie, qui ne sont pas des parties de plaisir et qu'il faille les respecter comme il se doit.
Imaginez, jeunes lecteurs, si vos mamans cessaient de ranger vos chambres, imaginez si les éboueurs d'une ville décidaient de ne plus ramasser les poubelles?
Vous avez compris, certainement.
Et c'est ce qui arrivera lorsque le bousier décidera de se dorer la pilule sur un monticule de terre, jusqu'à ce que les autres animaux prennent conscience du travail qu'il abat tous les jours.
Les jeunes lecteurs commenceront par en rire, c'est sûr, puisque la prairie se couvrira d'un tapis de crotte et il sera un peu difficile d'apercevoir à terme l'herbe bien verte.
Que demande en échange notre bousier?
C'est ce qu'il faudra découvrir, avant qu'il ne soit trop tard.
Le bousier nous amuse, dans son attitude relax. Il ne semble pas très coutûmier des vacances et cela semble finalement très agréable. Et bien voila.
Nous n'attendrons plus que la chute.
L'auteure ne manquera pas d'humour au fur et à mesure de son texte. Des volets seront à soulever, cela rendra le propos plus léger et redescendra aussi l'histoire à une hauteur plus enfantine.
C'est à découvrir.
