AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de de


de
13 juillet 2014
Un lac, une tour d'oiseleur.

Une femme devient gardienne. Des visiteurs, des horaires, de strictes règles.

Dans une langue dense, Gertrud Leutenegger nous entraîne dans un univers réel et irréel dans et hors du monde.

La gardienne, Victoria, les sacs en plastiques, la polenta, la surveillance, le chat noir, le secrétaire…

Une étrange familiarité, un univers onirique, des plongées dans le passé. Un condor, des oiseaux.

Une attraction touristique, la capture d'oiseaux migrateurs, une ville au bord d'un lac.

L'auteure nous propose des variations poétiques sur le dérèglement des jours.

Trentième jour dans la tour. « Pourquoi est-ce que je me sens si légère ? Chargée de tout ce que j'ai perdu, j'entre dans la ville qui s'éveille ».
Lien : https://entreleslignesentrel..
Commenter  J’apprécie          10



Ont apprécié cette critique (1)voir plus




{* *}