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Critique de LoupAlunettes



: La stylisation des personnages est amusante, une famille de blaireaux humanisés. L'anthropomorphisme est poussé à un point où nous pourrions couper les têtes de cette aimable famille très unie en noir et blanc pour y mettre des têtes d'humains.
Ce sont de belles tranches de vie que l'on nous réserve.
Objectif tendresse et bien plus.
Nous saisissons le temps qui passe avec ces différents de la journée et des jours filent. L'arbre maison des blaireaux marquent le temps comme sur une toise et tandis que le petit blaireau grandit dans ses loisirs et ses expériences, le ventre de maman s'arrondit et grossit.
Cela sent l'heureux événement tandis que la petite blaireau aura grandi d'une nouvelle expérience future de grande soeur.
Un travail très bien vu par Didier Levy sur ce temps donc et dont la symbolique du lien, familial et amical, se retrouve magnifiée par l'illustration de Fleur Oury de cet arbre-maison qui pousse, qui pousse et où viennent emménager d'autres familles animaux.

Un charme certain. La sève et l'oxygène coule et respire, un album vivifiant.
C'est le printemps!
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