La qualité paradoxale de ce livre est qu'on l'aime autant pour ses défauts que pour ses qualités. Chapitres après chapitres, on devient un grand voyageur : Chine, Russie, Grand Nord et auparavant dans le tome précédent Pérou, Éthiopie et grand rift, sans oublier le passé lointain et l'espace, comme une boussole pointée vers les galaxies. Tout s'emboîte, suggérant des complots mondiaux, des veilleurs bienveillants ou malveillants poursuivant des buts excessifs avec une louable constance digne de leurs obsessions. On apprend, on réfléchit, on rêve et cela n'a pas de prix.
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