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Critique de Diabolau
Une histoire qui se lit très rapidement et dont toutes les illustrations se ressemblent un peu. Il y a parfois peu d'évolution dans le personnage du renard, sa posture, d'une page à l'autre.
Que du classique dans le scénario, avec un renard plus futé bien sûr que les herbivores, assez condescendant d'ailleurs, et son taux de réussite n'est pas forcément à la hauteur de son tempérament hautain.
Un début de questionnement existentiel, aussi : "ah, si seulement j'étais l'un de ces crétins d'herbivores"... Mais il ne pense pas qu'il deviendrait une proie, du coup.
Finalement, c'est en faisant un peu n'importe quoi qu'il arrive à ses fins, réussit à gloutonner un lapin (oui, pour de bon : merci d'avoir osé) et pousse le vice jusqu'à se moquer de lui après l'avoir avalé.
Un album dont je ne sais trop quoi penser. Il ne m'a pas vraiment convaincu, mais il n'est pas mauvais non plus.
Que du classique dans le scénario, avec un renard plus futé bien sûr que les herbivores, assez condescendant d'ailleurs, et son taux de réussite n'est pas forcément à la hauteur de son tempérament hautain.
Un début de questionnement existentiel, aussi : "ah, si seulement j'étais l'un de ces crétins d'herbivores"... Mais il ne pense pas qu'il deviendrait une proie, du coup.
Finalement, c'est en faisant un peu n'importe quoi qu'il arrive à ses fins, réussit à gloutonner un lapin (oui, pour de bon : merci d'avoir osé) et pousse le vice jusqu'à se moquer de lui après l'avoir avalé.
Un album dont je ne sais trop quoi penser. Il ne m'a pas vraiment convaincu, mais il n'est pas mauvais non plus.
