« J’ai rencontré beaucoup de ces explorateurs […] ils partagent tous une même philosophie, une idée simple et élégante comme la logique qui gouverne l’informatique : l’ouverture, le partage, le refus de l’autorité, et la nécessité d’agir par soi-même, quoi qu’il en coûte, pour changer le monde. C’est ce que j’appelle l’Éthique des hackers. »
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.