Le mari de Louise, son grand et premier amour, l'a quittée pour refaire sa vie avec l'épouse de son père (Le père du mari, pas celui de Louise).
La pauvre a bien du mal à s'en remettre, ce que l'on peut comprendre. Depuis ce séisme elle ne sait plus faire grand chose: plus travailler, plus choisir un nouvel appartement, encore moins le décorer, ne sait plus aimer…
Tout cela est très joliment vain, bien tourné, mais tourne un peu en rond à mon goût.
L'ennui me gagne.
Je quitte donc Louise à mon tour, à la page 102 de ce petit roman, sans remords puisque cet abandon là au moins lui sera indolore…
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