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Critique de Malivriotheque
Eustache et sa camarade de classe Polly, pourchassée par des élèves tyranniques de leur établissement scolaire, se retrouvent dans Narnia après une course poursuite pour leur échapper. Ils tombent tout de suite sur le lion Aslan qui leur confie la mission de retrouver le fils de Caspian, le prince Rilian, disparu dix ans plus tôt alors qu'il avait croisé le chemin d'une femme...
Que dire de plus ? Au bout de six tomes je commence à en avoir sérieusement marre. C'est répétitif, il n'y a jamais de réel suspense, tous les symboles sont reconnaissables à vingt kilomètres...
Aussi bien dans l'ordre chronologique que de publication, "Le Fauteuil d'argent" devrait être le prochain roman à être adapté au cinéma. Mais des problèmes juridiques et financiers semblent empêcher tout tournage. Dommage. C'est pour l'instant, après les tomes 1 et 3, le seul que je verrais bien sur grand écran. On sent quand même que l'histoire s'épuise, que le puits se tarit. Tout simplement par manque phénoménal d'originalité.
J'en profite pour m'interroger (enfin !) sur le narrateur : un "je" dont on ignore l'identité depuis le tome 1. J'espère vraiment que le tome 7 répondra à cette dernière interrogation, histoire de repimenter un peu tout ça et de relever le goût assez fade de cet ensemble littéraire pourtant surconsommé en Amérique...
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
Que dire de plus ? Au bout de six tomes je commence à en avoir sérieusement marre. C'est répétitif, il n'y a jamais de réel suspense, tous les symboles sont reconnaissables à vingt kilomètres...
Aussi bien dans l'ordre chronologique que de publication, "Le Fauteuil d'argent" devrait être le prochain roman à être adapté au cinéma. Mais des problèmes juridiques et financiers semblent empêcher tout tournage. Dommage. C'est pour l'instant, après les tomes 1 et 3, le seul que je verrais bien sur grand écran. On sent quand même que l'histoire s'épuise, que le puits se tarit. Tout simplement par manque phénoménal d'originalité.
J'en profite pour m'interroger (enfin !) sur le narrateur : un "je" dont on ignore l'identité depuis le tome 1. J'espère vraiment que le tome 7 répondra à cette dernière interrogation, histoire de repimenter un peu tout ça et de relever le goût assez fade de cet ensemble littéraire pourtant surconsommé en Amérique...
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