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Critique de Coetseslivres
Un excellent moment de lecture !
Rosie est la narratrice de l'histoire. Elle a perdu ses parents très jeune et a été élevée par « mémé Léontine ». Rosie tient maintenant un salon de thé (formule petit dèj : un café +une pâtisserie = une viennoiserie offerte. Miam !!!). Une affaire qui marche bien et qui lui a permis de mettre de côté le départ de Léontine dont elle n'a plus de nouvelles.
Puis Rosie est victime d'un bête accident et se retrouve dans l'impossibilité de continuer son travail. Mais elle va être aidée par Fernande et Mauricette, des amies de Léontine. Inaction (ou presque !) forcée pour Rosie qui va avoir du temps pour cogiter. Pourquoi Léontine l'a-t-elle abandonnée ? La retrouver devient un besoin presque vital. Même guérie, Rosie est en proie à la « pâte blanche » et elle se rend compte qu'il lui manque quelque chose. Elle n'a qu'une solution, retrouver Léontine.
Elle sera accompagnée de Fernande et Mauricette, deux octogénaires pimpantes et vivantes, avec leur franc-parler et leurs expressions ch'ti qui les rendent si réalistes. Je les aime beaucoup : elles sont touchantes, un brin excentriques aussi avec leurs « chamailleries de gamines ». Elles sont surtout la preuve que les « personnes âgées » ne sont pas des gens éteints, qu'elles peuvent apporter beaucoup à ceux qui savent les écouter. J'allais dire qu'elles sont « mignonnes ». Elles apportent une touche de fraicheur à l'univers de Rosie.
Univers qui va aller en s'allégeant dès lors que Rosie aura décidé de partir à la recherche de Léontine.
Alors oui, c'est un feel good, mais ce n'est pas si léger que ça. C'est rempli d'émotions et de valeurs. On sourit beaucoup, mais pas que… C'est un roman « authentique », plein de nostalgie, de tendresse, d'amour et d'amitié.
C'est un roman frais et pétillant. Mais aussi touchant, parfois émouvant, rempli d'espoir, de cette « lumière au bout du tunnel » que Rosie va chercher.
Un excellent moment qui fait du bien, et qui met en valeurs les personnes dites « âgées ».
Rosie est la narratrice de l'histoire. Elle a perdu ses parents très jeune et a été élevée par « mémé Léontine ». Rosie tient maintenant un salon de thé (formule petit dèj : un café +une pâtisserie = une viennoiserie offerte. Miam !!!). Une affaire qui marche bien et qui lui a permis de mettre de côté le départ de Léontine dont elle n'a plus de nouvelles.
Puis Rosie est victime d'un bête accident et se retrouve dans l'impossibilité de continuer son travail. Mais elle va être aidée par Fernande et Mauricette, des amies de Léontine. Inaction (ou presque !) forcée pour Rosie qui va avoir du temps pour cogiter. Pourquoi Léontine l'a-t-elle abandonnée ? La retrouver devient un besoin presque vital. Même guérie, Rosie est en proie à la « pâte blanche » et elle se rend compte qu'il lui manque quelque chose. Elle n'a qu'une solution, retrouver Léontine.
Elle sera accompagnée de Fernande et Mauricette, deux octogénaires pimpantes et vivantes, avec leur franc-parler et leurs expressions ch'ti qui les rendent si réalistes. Je les aime beaucoup : elles sont touchantes, un brin excentriques aussi avec leurs « chamailleries de gamines ». Elles sont surtout la preuve que les « personnes âgées » ne sont pas des gens éteints, qu'elles peuvent apporter beaucoup à ceux qui savent les écouter. J'allais dire qu'elles sont « mignonnes ». Elles apportent une touche de fraicheur à l'univers de Rosie.
Univers qui va aller en s'allégeant dès lors que Rosie aura décidé de partir à la recherche de Léontine.
Alors oui, c'est un feel good, mais ce n'est pas si léger que ça. C'est rempli d'émotions et de valeurs. On sourit beaucoup, mais pas que… C'est un roman « authentique », plein de nostalgie, de tendresse, d'amour et d'amitié.
C'est un roman frais et pétillant. Mais aussi touchant, parfois émouvant, rempli d'espoir, de cette « lumière au bout du tunnel » que Rosie va chercher.
Un excellent moment qui fait du bien, et qui met en valeurs les personnes dites « âgées ».
