J'ai été séduite par le suspense psychologique de ce livre que j'avais repéré depuis quelques temps chez le libraire, attirée par son beau titre, inspiré d'un poème de
Dylan Thomas placé en exergue, et la photographie solaire de la couverture.
Je m'attendais à un ton assez élégiaque, surtout que le roman s'ouvre avec la citation « J'ai embrassé l'aube d'été ». Il aborde les thèmes de l'illusion des apparences, de la jalousie et de la vengeance dans un style surtout cru et grinçant.
Je l'ai lu d'une traite, très curieuse d'en connaître le fin mot. Je suis un peu déçue par les 50 dernières pages, qui brisent la cohésion de l'ensemble et mènent à une conclusion percutante mais un peu grotesque.
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