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Critique de CglRoger
Il y a des histoires qui marquent. Ce genre d'histoires qui, s'en crier gare, pénètrent votre esprit, s'invitent dans vos pensées et dont les personnages ne vous quittent plus. Vous partager leurs maux, leurs craintes et leurs espoirs. Vous vibrez pour eux.
C'est le cas du personnage de Valentine, protagoniste du roman Sur le fil, de Delphine Liard avec qui en quelques chapitres à peine j'ai fait corps. A la fois forte et fragile, j'ai eu l'impression de vivre ses combats, ses traumatismes, ses déceptions, mais aussi toute sa phase de reconstruction (et quelle bouffée d'optimisme alors !). J'avais tantôt envie de crier, de l'avertir, de la prendre dans mes bras et de la consoler, j'avais tantôt envie de rire, de sourire, de me laisser imprégner par la beauté des paysages qui défilaient sous ses yeux, de savourer et d'appréhender la vie, comme elle était capable de le faire dans ses moments les plus doux. Valentine ne m'a plus quitté jusqu'à la dernière page.
Je pense que ce roman aurait sa place dans la liste des ouvrages de développement personnel, dans le sens où il invite à croire en soi, en son potentiel et à un meilleur lendemain. Il nous montre que même lorsque l'on est au plus bas, lorsque notre chute est violente et qu'il ne nous reste rien, pas même une once d'estime de nous, il y a toujours une porte de sortie, un moyen de retourner vers la lumière. Pour reprendre l'une des métaphores qui y est employée, il donne une clef, que l'on peut ajouter à son trousseau et qui, en tant voulu, lorsqu'on en ressentira le besoin, nous servira à tracer notre propre route et prendre notre destin en main.
C'est le cas du personnage de Valentine, protagoniste du roman Sur le fil, de Delphine Liard avec qui en quelques chapitres à peine j'ai fait corps. A la fois forte et fragile, j'ai eu l'impression de vivre ses combats, ses traumatismes, ses déceptions, mais aussi toute sa phase de reconstruction (et quelle bouffée d'optimisme alors !). J'avais tantôt envie de crier, de l'avertir, de la prendre dans mes bras et de la consoler, j'avais tantôt envie de rire, de sourire, de me laisser imprégner par la beauté des paysages qui défilaient sous ses yeux, de savourer et d'appréhender la vie, comme elle était capable de le faire dans ses moments les plus doux. Valentine ne m'a plus quitté jusqu'à la dernière page.
Je pense que ce roman aurait sa place dans la liste des ouvrages de développement personnel, dans le sens où il invite à croire en soi, en son potentiel et à un meilleur lendemain. Il nous montre que même lorsque l'on est au plus bas, lorsque notre chute est violente et qu'il ne nous reste rien, pas même une once d'estime de nous, il y a toujours une porte de sortie, un moyen de retourner vers la lumière. Pour reprendre l'une des métaphores qui y est employée, il donne une clef, que l'on peut ajouter à son trousseau et qui, en tant voulu, lorsqu'on en ressentira le besoin, nous servira à tracer notre propre route et prendre notre destin en main.
