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Critique de karen_univers
Autant j'ai apprécié le tome 1, autant ce deuxième tome a été une véritable calamité à lire. Je suis particulièrement déçue. Je trouvais que la saga était bien partie, mais là, ça c'est vraiment dégradé.
Tout d'abord, il y a énormément de scènes de sexe. Beaucoup trop. Cela ne me dérange pas en règle générale, mais à partir du moment où il y a une histoire, un scénario, un fond et/ou un contenu, cela ne me dérange pas, mais ces enchaînements de partie de jambes en l'air entre Laura et Massimo donnent surtout l'impression que l'auteure n'a pas su donner du contenu à son histoire et qu'elle a brodé pour arriver à un résultat de 391 pages où 80% de son livre ne sont que du sexe pour du sexe. de plus, elle justifie cela avec l'état de Laura, ce que je trouve complètement irréaliste. Les événements s'enchaînent sans absolument aucune cohérence. Et les dialogues sont parfois sans queue ni tête. Ça donne l'impression d'un "on colle ça là, et hop, on enchaîne".
Ensuite, j'ai détesté son personnage. Laura, bientôt 30 ans, aussi capricieuse et superficielle qu'une gamine de 15 ans pourrie gâtée. Elle a des réactions démesurées pour tout et pour rien. Pour finalement pleurer 2 lignes plus tard en "comprenant la mesure de ses actes", mais n'apprenant finalement jamais la leçon. À aucun moment elle ne gagne en maturité. J'ai même trouvé que par rapport au 1er tome, elle se dégrade. D'une femme de caractère capable de tenir tête à Massimo, je me suis retrouvée face à une gamine frivole qui ne comprend absolument pas ce qu'elle peut faire de mal alors que c'est tout bonnement une hystérique mégalo. Au-delà du fait qu'elle est totalement consciente de souffrir du syndrome de Stockholm, elle ne cherche aucune aide. Elle cache honteusement son état à ses parents, s'énerve lorsque sa mère lui dit qu'elle ne comprend pas comment elle a pu en arriver là, etc. Bref, il n'y a absolument aucun réalisme à tout cela.
À cela s'ajoute Olga, sa meilleure amie. En général, ce personnage secondaire sert un peu de "voix de la raison", mais là... c'est un gros zéro pointé ! Olga est pire que Laura. Elle boit et se drogue sans le moindre problème, à juste envie de sauter sur tout ce qui a un peu de muscles. Elle est le reflet de Laura si celle-ci n'était pas tombée en cloque et devait mesurer ses actes pour la bonne santé de son bébé. Les dialogues entre elles sont bien évidemment aussi creux que leurs cervelles. Elles agissent comme deux bimbos, sans aucune perspective d'avenir que de se faire sauter et entretenir.
La seule mesure constante dans ce roman, c'est Massimo qui est toujours égal à lui-même. Je m'attendais quand même à en savoir un peu plus sur lui, mais il demeure presqu'aussi mystérieux que dans le 1er tome. Néanmoins, il fait preuve de douceur face à la maternité de Laura, ce qui révèle une autre facette de sa personnalité. Honnêtement, je ne comprend pas comment il peut rester avec Laura, lui qui est bien plus mature. Il est totalement conscient du monde dans lequel il vit, et il mesure chacun de ses actes afin de minimiser les conséquences. Laura fout absolument tout en l'air avec ses réactions démesurées. Il passe son temps à rattraper ses conneries, s'en devient laçant.
Honnêtement, il n'y a que les 50 dernières pages de ce roman qui valent le coup, avec bien sûr l'apparition d'un tout nouveau personnage qui soulève quelques questions : Marcelo Nacho Matos. J'ai presque l'envie de dire que je lirais le tome 3 juste pour savoir ce que ce personnage pourrait apporter à l'histoire. Mais en tout cas, ce n'est pas pour l'envie de savoir la fin.
Tout d'abord, il y a énormément de scènes de sexe. Beaucoup trop. Cela ne me dérange pas en règle générale, mais à partir du moment où il y a une histoire, un scénario, un fond et/ou un contenu, cela ne me dérange pas, mais ces enchaînements de partie de jambes en l'air entre Laura et Massimo donnent surtout l'impression que l'auteure n'a pas su donner du contenu à son histoire et qu'elle a brodé pour arriver à un résultat de 391 pages où 80% de son livre ne sont que du sexe pour du sexe. de plus, elle justifie cela avec l'état de Laura, ce que je trouve complètement irréaliste. Les événements s'enchaînent sans absolument aucune cohérence. Et les dialogues sont parfois sans queue ni tête. Ça donne l'impression d'un "on colle ça là, et hop, on enchaîne".
Ensuite, j'ai détesté son personnage. Laura, bientôt 30 ans, aussi capricieuse et superficielle qu'une gamine de 15 ans pourrie gâtée. Elle a des réactions démesurées pour tout et pour rien. Pour finalement pleurer 2 lignes plus tard en "comprenant la mesure de ses actes", mais n'apprenant finalement jamais la leçon. À aucun moment elle ne gagne en maturité. J'ai même trouvé que par rapport au 1er tome, elle se dégrade. D'une femme de caractère capable de tenir tête à Massimo, je me suis retrouvée face à une gamine frivole qui ne comprend absolument pas ce qu'elle peut faire de mal alors que c'est tout bonnement une hystérique mégalo. Au-delà du fait qu'elle est totalement consciente de souffrir du syndrome de Stockholm, elle ne cherche aucune aide. Elle cache honteusement son état à ses parents, s'énerve lorsque sa mère lui dit qu'elle ne comprend pas comment elle a pu en arriver là, etc. Bref, il n'y a absolument aucun réalisme à tout cela.
À cela s'ajoute Olga, sa meilleure amie. En général, ce personnage secondaire sert un peu de "voix de la raison", mais là... c'est un gros zéro pointé ! Olga est pire que Laura. Elle boit et se drogue sans le moindre problème, à juste envie de sauter sur tout ce qui a un peu de muscles. Elle est le reflet de Laura si celle-ci n'était pas tombée en cloque et devait mesurer ses actes pour la bonne santé de son bébé. Les dialogues entre elles sont bien évidemment aussi creux que leurs cervelles. Elles agissent comme deux bimbos, sans aucune perspective d'avenir que de se faire sauter et entretenir.
La seule mesure constante dans ce roman, c'est Massimo qui est toujours égal à lui-même. Je m'attendais quand même à en savoir un peu plus sur lui, mais il demeure presqu'aussi mystérieux que dans le 1er tome. Néanmoins, il fait preuve de douceur face à la maternité de Laura, ce qui révèle une autre facette de sa personnalité. Honnêtement, je ne comprend pas comment il peut rester avec Laura, lui qui est bien plus mature. Il est totalement conscient du monde dans lequel il vit, et il mesure chacun de ses actes afin de minimiser les conséquences. Laura fout absolument tout en l'air avec ses réactions démesurées. Il passe son temps à rattraper ses conneries, s'en devient laçant.
Honnêtement, il n'y a que les 50 dernières pages de ce roman qui valent le coup, avec bien sûr l'apparition d'un tout nouveau personnage qui soulève quelques questions : Marcelo Nacho Matos. J'ai presque l'envie de dire que je lirais le tome 3 juste pour savoir ce que ce personnage pourrait apporter à l'histoire. Mais en tout cas, ce n'est pas pour l'envie de savoir la fin.
