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Critique de Kenehan
« For all seasons » est un Superman en quatre épisodes seulement. En 1998, Jeph Loeb et Tim Sale s'associe pour sonder l'âme du super-héros le temps de quatre saisons.
Chacune d'elle trouve sa voix particulière. L'une celle d'un père inquiet, l'autre d'un ennemi se sentant menacé mais toujours pour évoquer la psyché fragile d'un surhomme en construction.
L'apparence exacerbée de Clark/Superman avec ses traits prononcés, son corps à la géométrie brute et sa carrure imposante n'étaient pas pour me plaire. Ce n'est qu'à la lecture de chacun des chapitres que ce choix de Tim Sale s'est révélé d'une efficacité parfaite tant le physique du jeune héros est à contre-courant de tout ce qui l'anime.
D'un comics pioché histoire de lire une histoire simple, je me retrouve avec un coup de coeur inattendu. Un récit alors bien trop bref à propos d'un Superman vintage totalement réussi dans son approche psychologique.
Chacune d'elle trouve sa voix particulière. L'une celle d'un père inquiet, l'autre d'un ennemi se sentant menacé mais toujours pour évoquer la psyché fragile d'un surhomme en construction.
L'apparence exacerbée de Clark/Superman avec ses traits prononcés, son corps à la géométrie brute et sa carrure imposante n'étaient pas pour me plaire. Ce n'est qu'à la lecture de chacun des chapitres que ce choix de Tim Sale s'est révélé d'une efficacité parfaite tant le physique du jeune héros est à contre-courant de tout ce qui l'anime.
D'un comics pioché histoire de lire une histoire simple, je me retrouve avec un coup de coeur inattendu. Un récit alors bien trop bref à propos d'un Superman vintage totalement réussi dans son approche psychologique.
