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Critique de Hemera41
Alors que Buck vit une petite vie tranquille avec le juge Miller et sa famille dans le Sud des États-Unis, il se retrouve capturer et emmener de force en Alaska. Ici, c'est une vie de dur labeur et de souffrance qui l'attend, au service des chercheurs d'or en tant que chien de traîneau.
Ce livre est beau, touchant et très vrai. Au fil de ce livre, on voit toutes les relations possibles entre un chien et son maître. Buck est parfois simplement traité comme un outil de travail que l'on doit entretenir pour qu'il tienne le plus longtemps. Parfois, il est aimé comme un membre de la famille, une famille qu'il protège et sert de bon gré. Mais parfois, il est traité comme un simple objet, une propriété sur laquelle on a tous les droits, à ce moment Buck est résigné, près à affronter la mort. Pourtant, Buck ne perd pas foi en toute l'Humanité, il se réadapte après chaque coup, après chaque maltraitance. Ce roman nous montre bien ce que l'Homme est capable de faire à l'animal, et cela reste très vrai plus d'un siècle après. Pourtant, l'animal n'éprouve que rarement de la rancoeur, ce qui le place bien au-dessus de l'Homme à bien des regards.
Buck change tout au long du récit, il passe du gentil toutou à un véritable chien-loup, renouant avec ses instincts millénaires. Il retourne de plus en plus à la forêt et aux façons d'y agir et d'y réfléchir pour vivre, survivre, face à la nature, mais aussi face à ses congénères. Ce qui est très intéressant ici, c'est le point de vue adopté par Jack London. Nous sommes sur une troisième personne qui nous permet d'avoir des informations que Buck n'aurait pas (lieu, paroles des humains), mais qui restent pourtant très ancrées dans la tête du chien. le chien n'est pas humanisé, il réfléchit certes, mais sans paroles. Il tente de comprendre les Hommes et s'adapte en fonction de ses connaissances. Il ne communique pas non plus avec ses congénères autrement que par des gestes. C'est donc un point de vue tout ce qu'il y a de plus naturel.
J'ai adoré me plonger dans l'aventure de Buck, j'ai ri et pleuré pour lui. Je recommande chaudement ce livre à ceux qui ne l'aurait pas encore découvert.
Ce livre est beau, touchant et très vrai. Au fil de ce livre, on voit toutes les relations possibles entre un chien et son maître. Buck est parfois simplement traité comme un outil de travail que l'on doit entretenir pour qu'il tienne le plus longtemps. Parfois, il est aimé comme un membre de la famille, une famille qu'il protège et sert de bon gré. Mais parfois, il est traité comme un simple objet, une propriété sur laquelle on a tous les droits, à ce moment Buck est résigné, près à affronter la mort. Pourtant, Buck ne perd pas foi en toute l'Humanité, il se réadapte après chaque coup, après chaque maltraitance. Ce roman nous montre bien ce que l'Homme est capable de faire à l'animal, et cela reste très vrai plus d'un siècle après. Pourtant, l'animal n'éprouve que rarement de la rancoeur, ce qui le place bien au-dessus de l'Homme à bien des regards.
Buck change tout au long du récit, il passe du gentil toutou à un véritable chien-loup, renouant avec ses instincts millénaires. Il retourne de plus en plus à la forêt et aux façons d'y agir et d'y réfléchir pour vivre, survivre, face à la nature, mais aussi face à ses congénères. Ce qui est très intéressant ici, c'est le point de vue adopté par Jack London. Nous sommes sur une troisième personne qui nous permet d'avoir des informations que Buck n'aurait pas (lieu, paroles des humains), mais qui restent pourtant très ancrées dans la tête du chien. le chien n'est pas humanisé, il réfléchit certes, mais sans paroles. Il tente de comprendre les Hommes et s'adapte en fonction de ses connaissances. Il ne communique pas non plus avec ses congénères autrement que par des gestes. C'est donc un point de vue tout ce qu'il y a de plus naturel.
J'ai adoré me plonger dans l'aventure de Buck, j'ai ri et pleuré pour lui. Je recommande chaudement ce livre à ceux qui ne l'aurait pas encore découvert.
