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Critique de mayim
Ce court roman raconte les multiples tentatives, toutes plus créatives les unes que les autres, de villageois moldaves pour émigrer en Italie, pays de tous leurs rêves.
Lortchenkov a clairement choisi le rire et la farce pour décrire la vie de ses concitoyens de Moldavie. Pourtant, les sujets abordés sont graves (désespoir, suicides, meurtres, viols, corruption, déportation…). Tout le monde en prend pour son grade, les Moldaves bien sûr, mais aussi les Européens, les Russes, les religieux, les politiques, les paysans, les intellectuels…
Ce livre a le mérite de permettre la découverte de ce pays et de la situation dramatique de ses habitants avec un ton qui évite tout pathos. Pourtant, on s'ennuie rapidement car il s'agit plus d'une succession d'anecdotes avec le même contenu que d'un véritable roman avec une trame qui retiendrait notre attention.
Lortchenkov a clairement choisi le rire et la farce pour décrire la vie de ses concitoyens de Moldavie. Pourtant, les sujets abordés sont graves (désespoir, suicides, meurtres, viols, corruption, déportation…). Tout le monde en prend pour son grade, les Moldaves bien sûr, mais aussi les Européens, les Russes, les religieux, les politiques, les paysans, les intellectuels…
Ce livre a le mérite de permettre la découverte de ce pays et de la situation dramatique de ses habitants avec un ton qui évite tout pathos. Pourtant, on s'ennuie rapidement car il s'agit plus d'une succession d'anecdotes avec le même contenu que d'un véritable roman avec une trame qui retiendrait notre attention.
