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Critique de Marpesse
Un livre qui fait pleurer, plein de tendresse pour les animaux (les chats en particulier) et imprégné du temps qui passe.
La scène du coucher des chats, la bataille avec le gros matou jaune à travers la vitre, autant de faits quotidiens dans lesquels se retrouvent ceux qui ont et aiment des animaux.
On attendait encore plus d'anecdotes sur ces deux Moumouttes, la Blanche et la Chinoise qui, après la bagarre de départ, s'adorent et dorment blotties l'une contre l'autre.
Le narrateur a ramené l'une de ses voyages en Asie ; quand il est en France, il vit dans sa maison d'enfance, avec sa mère et sa tante Claire. On sent monter le regret du "jamais plus" au fil des pages, cette conscience de la perte.
Un homme bon se mesure à son affection pour les animaux. Rare chez les écrivains.
La scène du coucher des chats, la bataille avec le gros matou jaune à travers la vitre, autant de faits quotidiens dans lesquels se retrouvent ceux qui ont et aiment des animaux.
On attendait encore plus d'anecdotes sur ces deux Moumouttes, la Blanche et la Chinoise qui, après la bagarre de départ, s'adorent et dorment blotties l'une contre l'autre.
Le narrateur a ramené l'une de ses voyages en Asie ; quand il est en France, il vit dans sa maison d'enfance, avec sa mère et sa tante Claire. On sent monter le regret du "jamais plus" au fil des pages, cette conscience de la perte.
Un homme bon se mesure à son affection pour les animaux. Rare chez les écrivains.
